Uro Partagé Et Premier Fist : LInitiation De Béatrice 04
LInitiation de Béatrice 04
Alors que je vais sur mes vingt-deux ans, je drague Béatrice une gamine dix-huit ans, me promettant bien de la déniaiser en lemmenant batifoler à minuit sur les pelouses du bois de Boulogne. Après bien des difficultés, Béatrice me laisse lui prendre sa virginité et se révèle une jeune cavale bien prometteuse. Dans une auberge en bord de Seine près de Villeneuve-Saint-Georges, je linitie à la fellation et je dépucèle son petit cul.
URO PARTAGÉ ET PREMIER FIST
Béatrice se love contre moi et ronronne comme une chatte en chaleur. Javoue que je suis assez satisfait davoir pu en si peu de temps lamener à autant de lubricité et de lavoir fait jouir en dépucelant son cul dune manière aussi sauvage et violente. Je suis conscient ne pas lavoir ménagé et pourtant elle y a pris du plaisir. Il faut que dès maintenant jaille le plus loin possible dans la soumission pour voir jusquoù elle est prête à aller. Sous prétexte de nous rafraîchir je lemmène dans la salle de bains. La baignoire est très grande et nous y tenons tous les deux sans problème. Après nous être savonnés et rincés, elle veut sortir pour aller faire pipi me dit-elle. Je lui demande de faire dans la baignoire devant moi. Elle rougit et semble embarrassée. Jinsiste en lui signifiant que cela me fera plaisir de voir son méat urinaire souvrir et masperger le corps. Alors que je suis allongé, elle menjambe et sassoit à califourchon sur mon torse et me regarde dans les yeux amoureusement. Avec deux doigts, elle écarte ses grandes lèvres et laisse un jet de pisse gicler sur ma poitrine. Je sens lodeur forte de lurine quelle dégage et lui demande de savancer plus haut vers mon visage.
Elle a une hésitation, mais je sens quelle est excitée par ce quelle vient de faire et par ce quelle soupçonne dans lacte qui va suivre. Elle se laisse glisser, toujours à califourchon sur moi alors que je me suis étendu le plus à plat possible.
- Tu veux quà mon tour, je boive ton pipi mon Chéri ? Je veux bien tu sais. Cela ma excitée de te voir boire ma pisse. Jai envie dessayer. Tu veux bien ?
Javoue que je suis de plus en plus surpris par la lubricité dont fait preuve mon ex oie blanche. On dirait que sa dépravation na pas de limite et que je vais pouvoir la guider dans la pire perversion jusquà lobscénité la plus complète. Je me redresse et la fais sasseoir au fond de la baignoire. Je lui dis de fermer les yeux et je lasperge copieusement sur tout le visage de mon urine que je retiens depuis un bon moment (il est vrai que jai bu trois grandes bières au moment du repas et que de plus ce sont des bières belges au goût très prononcé). Elle grimace quelque peu, mais ouvre la bouche en grand lorsque je laisse jaillir un second jet dans sa direction. Je mapproche un peu plus et vise le fond de sa gorge, elle a quelques hoquets, mais avale consciencieusement tout le liquide quelle reçoit. Elle va même jusquà prendre ma bite dans sa bouche alors que le liquide coule encore.
Après nous être parfaitement douché et shampouiné, nous retournons dans la chambre et nous nous enlaçons sur le lit. Ma petite chérie est insatiable et elle recommence à mempoigner le sexe pour me masturber et me mettre en forme. À cette cadence, je ne vais jamais pouvoir tenir, aussi, je lui propose de la fister. Elle ne connaît bien sûr pas ce terme et je ne veux pas lui expliquer, mais je lui dis que cela pourrait lui plaire. Dans nos bagages, je prends un poncho en caoutchouc, bien pratique pour le scooter, et je létale sur le lit en lui demandant de sallonger dessus et douvrir ses jambes. Je retourne dans la salle de bains et je prends la grande bouteille de shampoing (à cette époque il ny avait pas de lubrifiant particulier pour le fist ou lanal, les shampoings étaient pour la plupart à base dalcool gras sulfoné, un dérivé du pétrole, en fait un mouillant qui fera parfaitement laffaire pour ce que jallais tenter de faire). Retournant dans la chambre, je fixe autour de la tête de Béatrice un foulard pour lui ôter la vue afin de lui faire la surprise de sa vie lui dis-je. Puis avec deux autres foulards, je lui attache les poignets aux barreaux de la tête du lit métallique. Elle commence à être inquiète et me demande ce que je prépare. Je ne réponds pas et je masturbe doucement son mont de vénus, ce qui déclenche aussitôt un trémoussement de tout son corps qui ondule sous mes caresses de plus en plus appuyées. Je titille enfin son clitoris la faisant sursauter sous mes attouchements très précis. Elle agite ses jambes en tous sens et pour la calmer je lui dis que je vais lui attacher les chevilles aux pieds du lit. Elle se laisse faire en riant, en me disant que cela ne lempêchera pas de jouir lorsquelle en aura envie. Après avoir attaché ses chevilles, elle se trouve ainsi grande ouverte à ma main qui va essayer de pénétrer ses chairs les plus intimes.
Je glisse un oreiller sous le poncho à hauteur de ses reins et la soulève pour que sa vulve soit surélevée par rapport au lit, ce qui accentue louverture de ses grandes lèvres et révèle louverture béante de sa magnifique chatte. Je prends alors le shampoing et jen verse dans la matrice que je tiens grande ouverte de mon autre main. En sentant le liquide tiède qui sécoule dans son vagin, elle me questionne angoissée sur ce que je suis en train de lui faire. Menduisant les doigts dune main du shampoing que je tiens au-dessus de son ventre, je glisse deux doigts dans la matrice qui se déploie facilement sous mes doigts. Béatrice pousse un soupir de soulagement sous la pénétration qui lui occasionne un plaisir non-simulé. Puis je rajoute un troisième doigt et, tout en le glissant à côté des deux autres, jélargis le plus que je peux les parois de la matrice vaginale. Béatrice halète et jouis intensément surtout que du pouce, je lui caresse alternativement le bourgeon de son clitoris qui sest extrait de sa gaine et pointe furieusement sous les caresses que je lui octroie. Je verse encore un peu de shampoing dans la gaine à présent dilatée et je pousse le petit doigt et le pouce replié pour tenter de pénétrer dans la matrice qui a tout de même du mal à sécarter suffisamment. Béatrice réalise soudain ce que je tente de faire :
- Oh ! Mon Dieu, gémit-elle d'une voix brisée étouffée par les sanglots. Oh ! Michel ! Retire ta main, je ten supplie ! Ouuuuhhhh !......
Nécoutant pas ses plaintes, je continue à élargir avec mes doigts les chairs de la matrice boursouflée qui dun seul coup laisse ma main sintroduire dans la fente vaginale. Je laisse mon poing fermé pour ne pas affoler la pauvre Béatrice :
- Ouuuuuuu ! Ah !... aaah !... ooooh ! Mon Dieu !.... cest trop gros.... oh ! Oh ! Ooouuuuuuuuuuuuuuhh !... ooooh ! Oh !.......... oh !...........
- Cette fois mon poignet est entièrement enfoncé dans la gaine vaginale distendue à lextrême.
- Oh ! Oui, mon chéri, continue, tu me fais jouir. Oh !... oh !... oui !... oui !... Entre ta main dans mon vagin, fouille, allez vas-y, n'aie pas peur. Oui enfonce, encore... encore ! Oh ! Tu me défonces ma pauvre chatte, mais continue, je veux te sentir encore dans moi.
Javoue prendre un grand plaisir à fouiller ainsi de mes doigts le vagin dégoulinant de mouille et du liquide savonneux que jai introduit. Je tourne ma main en tous sens et la retire presque entièrement pour lenfoncer à nouveau dans le ventre de ma petite salope qui jouit sans discontinuer jusquà ce quelle sévanouisse sous la frénésie voluptueuse et lubrique qui la envahie.
Nous faisons ainsi lamour durant près de quarante heures, nous restaurant à peine en mangeant quelques sandwichs que nous nous faisons apporter dans la chambre. Celle-ci sent le foutre à plein nez et le serveur qui nous sert, un homme dune trentaine dannées, détaille Béatrice, nue dans le lit froissé, recouverte à peine du drap de dessus. Il a des yeux exorbités lorsquil aperçoit la chair dun sein, ou le rebondi dune fesse qui surgit de la légère étoffe qui recouvre difficilement le corps de ma maîtresse. Je le ferais bien participer, mais je pense, peut être à tort quil est encore un peu tôt.
à suivre
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